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Karine Paoli – Présentation :

« L’acte fondateur de ma création artistique est le cadeau que me fit mon père le jour de mes 12 ans, mon premier boitier. Il permit à l’adolescente que j’étais de transformer sa révolte en création.

Du 1er polaroïd à la pellicule argentique, au numérique et à mon téléphone portable, l’appareil photo est un prolongement de moi-même, mon troisième œil qui fige dans une acceptation positive ma vision du monde.

« Un miroir de Paris » est le pendant visuel de la « camera obscura » où l’image est vue à l’envers, mais de cet envers une vérité jaillit, et qui laisse deviner à mon sens l’essentiel, une ombre furtive et graphique, un détail urbain invisible au plus grand nombre, une ville fantôme détruite, une nature « graffée », l’œil voit au delà de ce qui est montré. Dans cette pratique artistique, ma vision balaie le monde comme un décor où l’Homme n’est présent que par les traces qu’il y a laissé.

A contrario j’ai créé le HUG ME Concept où cette fois, l’Humain prend sa dimension à mon sens, la plus noble : celle de la bienveillance. Il s’agissait aux premiers temps de la photographie de ne pas bouger, de prendre la pause, j’ai décidé de retrouver ce rythme mais que ce temps soit dédié à l’Autre.
Dans cette pratique en noir et blanc, pendant quelques minutes, le temps est figé et dédié uniquement à une personne à qui l’on tient et à qui on souhaite dédicacer un HUG.
Plus de 3 500 portraits ont été réalisés, en France et à l’international.
Ce projet de « vie » a une date de début mais pas de fin, il voyage au fil du temps et des continents, selon mes envies et les rencontres, il se passe et se repasse comme un relais.
Il ne s’agit plus de peindre la Lumière selon l’étymologie du terme Photo Graphie mais bien de la partager. »

Texte de Laurence Guerreri – Galeriste

Découvrez aussi les sites www.hugme.fr et www.fkfactory.paris/

 

 

 

Karine Paoli

« L’acte fondateur de ma création artistique est le cadeau que me fit mon père le jour de mes 12 ans, mon premier boitier. Il permit à l’adolescente que j’étais de transformer sa révolte en création.


Du 1er polaroïd à la pellicule argentique, au numérique et à mon téléphone portable, l’appareil photo est un prolongement de moi-même, mon troisième œil qui fige dans une acceptation positive ma vision du monde.

« Un miroir de Paris » est le pendant visuel de la « camera obscura » où l’image est vue à l’envers, mais de cet envers une vérité jaillit, et qui laisse deviner à mon sens l’essentiel, une ombre furtive et graphique, un détail urbain invisible au plus grand nombre, une ville fantôme détruite, une nature « graffée », l’œil voit au delà de ce qui est montré.

Dans cette pratique artistique, ma vision balaie le monde comme un décor où l’Homme n’est présent que par les traces qu’il y a laissé.


A contrario j’ai créé le HUG ME Concept où cette fois, l’Humain prend sa dimension à mon sens, la plus noble : celle de la bienveillance.

Il s’agissait aux premiers temps de la photographie de ne pas bouger, de prendre la pause, j’ai décidé de retrouver ce rythme mais que ce temps soit dédié à l’Autre.
Dans cette pratique en noir et blanc, pendant quelques minutes, le temps est figé et dédié uniquement à une personne à qui l’on tient et à qui on souhaite dédicacer un HUG.
Plus de 3 000 portraits ont été réalisés, en France et à l’international.

Ce projet de « vie » a une date de début mais pas de fin, il voyage au fil du temps et des continents, selon mes envies et les rencontres, il se passe et se repasse comme un relais.

Il ne s’agit plus de peindre la Lumière selon l’étymologie du terme Photo Graphie mais bien de la partager. »
Texte de Laurence Guerreri – Galeriste