Natur’Elle Graffiti’s
(2003 – 2025…)
Madame Nature reprend doucement ses droits, en parfaite harmonie avec les œuvres vibrantes des artistes de rue.
Cette série, née en 2003, continue d’évoluer au fil des déambulations urbaines de la photographe.
Végétation luxuriante, explosion de couleurs, textures, lumières, formes graphiques et poésie des détails se mêlent ici avec grâce.
SB – Critique d’Art :
Depuis 2003, Karine Paoli arpente les rues avec son appareil, observant avec un regard à la fois intemporel et poétique.
Passionnée de street art, elle explore la relation fascinante entre la nature et l’art urbain.
Avec un brin d’amusement, elle remarque que la nature s’immisce, reprend sa place au cœur des œuvres humaines.
Elle y trouve une douceur, une féminité qui s’échappent des murs et envahissent l’espace.
Et si la nature voulait dialoguer avec l’art ?
Et si cet art sauvage magnifiait notre quotidien urbain ?
Tandis que certains street artistes fusionnent délibérément leurs œuvres avec la nature, Karine capture avec innocence et curiosité ces instants fortuits, ces gestes éphémères.
Que reste-t-il quand la rose fanée ?
Que subsiste-t-il du dessin urbain après la pluie, le vent, le soleil ?
Au moment où nos besoins d’harmonie se font pressants, Karine Paoli nous montre que urbanisme et écologie peuvent cohabiter.
Sa poésie visuelle et son regard pétillant éveillent en nous l’envie de protéger à la fois la nature et l’art.
Au-delà de la douceur, elle nous invite à un message de paix.
Natur’Elle Graffiti’s
(2003 – 2017)
Lady Nature gently reclaims her rights, in perfect harmony with the vibrant works of street artists.
This series, born in 2003, continues to evolve as the photographer wanders through urban landscapes.
Lush vegetation, bursts of color, textures, light, graphic shapes, and poetic details mingle here with grace.
SB – Art Critic:
Since 2003, Karine Paoli has roamed the streets with her camera, observing with a gaze both timeless and poetic.
A street art enthusiast, she explores the fascinating relationship between nature and urban art.
With a touch of amusement, she notices nature creeping back, reclaiming its place within human creations.
She finds a softness, a femininity that escapes the walls and fills the space.
What if nature wanted to converse with art?
What if this wild art enhanced our urban daily life?
While some street artists deliberately merge their works with nature, Karine captures, with innocence and curiosity, these fleeting, chance moments.
What remains when the rose has wilted?
What survives of urban drawings after rain, wind, and sun?
At a time when harmony is urgently needed, Karine Paoli shows us that urbanism and ecology can coexist.
Her visual poetry and sparkling gaze awaken in us a desire to protect both nature and art.
Beyond softness, she offers us a message of peace.










