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Dans les bras de Morphée
(2005)

J’ai toujours trouvé une beauté singulière dans les visages endormis.
Ce moment de lâcher-prise, fugace et suspendu — comme si le temps s’arrêtait pour offrir une pause, un instant volé à des vies souvent marquées par la fatigue ignorée — est un refuge intime.
Ces portraits en noir et blanc, capturés dans le métro et le RER parisiens aux premières heures du jour, montrent ces inconnus qui tentaient de récupérer d’une nuit trop courte, prêts à affronter une journée déjà bien remplie.

Qui étaient-ils ? Où allaient-ils ? Où s’arrêterait leur voyage ?
Tant de questions sans réponse, car leur sommeil, même léger, restait précieux et méritait respect.
Approchons-nous d’eux tout doucement, en silence, juste pour savourer la beauté de l’instant.


In the Arms of Morpheus
(2005)

I have always found a unique beauty in sleeping faces.
This fleeting moment of surrender — as if time pauses to grant a rest, a stolen instant from lives often weighed down by unnoticed fatigue — is an intimate refuge.
These black-and-white portraits, taken in the Paris metro and RER early in the morning, capture strangers trying to recover from too-short nights, preparing to face an already demanding day.

Who were they? Where were they headed? Where would their journey end?
So many unanswered questions, for their sleep, even light, was precious and deserved respect.
Let us approach them quietly, in silence, just to savor the beauty of the moment.

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